Entre 2009 et 2012, j’ai travaillé des couches de monotypes sur des papiers coton absorbants rapportés d’un souk de Damas, ville qui m’est chère….

La peinture « traversante » permettait d’obtenir une lecture recto verso.

Fixés sur de grands tulles et préalablement destinés à un projet  d’expo dans une chapelle, j’ai pu montrer un de ces panneaux à la Galerie de l’Oiseau Sablier en 2012 à Tréguier avant de tout découdre pour individualiser cette grande série d’empreintes.